mardi 22 décembre 2009

La PoÉsiE dE cHacUnE dE mEs SeCoNdeS !

Il y a de la magie dans chacun de ses gestes.
Un peu des Déesses et des Dieux dans ses sourires et dans l'éclat de son regard.
Les étincelles crépitent au bout de ses doigts, et des paillettes de lumières tombent en riant de ses cheveux.
Moi je suis là et je la regarde, sans oser dire un mot, baignant dans la béatitude.
Tout ça est pour moi.
Dieu dans chacun de ses mouvements.
Déesse dans chacun de ses rires.
Tout ça m'appartient.
J'implore les Divinités.
- Ne me prenez pas cet instant, ne me volez pas cet Amour, Tuez moi plutôt mais laissez moi cet Amour, ce souvenir, cette seconde, ou tout est parfait.
Elle est assise en face de moi et je rêve d'elle.
Elle redresse la tête et me regarde, un léger sourire sur ses lèvres rouges sang de Fée.
- Tu veux un dessert ? demande-t-elle de sa voix douce comme peut parfois l'être la caresse d'un fou éperdu d'Amour.
- Oui je réponds, oui je veux bien, s'il te plait.
Encore un sourire.
Encore un peu de sa lumière.

Courir à reculons vers la fin !

J'ai ouvert les yeux ce matin, respiré, aimé la vie, une fois encore.
Je suis sorti dehors.
L'air était doux. Le soleil d'hiver brillait.
La magie flottait doucement autour des arbres.
J'ai regardé les cieux.
Je n'aurais surement pas d'enfant.
Je ne m'en sortirai surement pas.
Et ce sera surement ma faute.
Ainsi va la poésie de ma vie.
Je n'aime plus vraiment celui que je suis.
Ma vie manque d'Amour.
J'écoute des chansons tristes en rêvant d'une fille qui n'existe pas. Il y a pire pour se détruire.
La route m'appelle encore...
J'ai besoin d'un sourire comme d'autre de leur dose, besoin d'un rire comme de respirer.
- Fais ce que tu as à faire, finis ce que tu as choisi, et puis évapore toi si tel est ton choix, mais fais le, oui fais le avant de partir !!!
Je tiendrais peut-être encore jusqu'à la nuit.
Je courrais peut-être alors sous la lune.
La musique monte jusqu'aux Dieux oubliés. La magie de l'univers coule en moi. L'harmonie n'est jamais la tristesse.
- Je sens une part d'ombre en toi avait dis ma tueuse.
- Ce n'est que de la souffrance avais je répondu.
Je n'avais pas menti.
Il y a moins d'ombre aujourd'hui, moins de souffrance, j'ai eu tellement.
Juste de la solitude et de l'incompréhension, comment ai je fait pour laisser mes pas me guider jusqu'ici ?
Il est temps pour moi de me préparer à tenter de voir la fille aux yeux dorés. En ce moment son sourire tue mes démons.
Et c'est déjà beaucoup.

lundi 21 décembre 2009

Le FeU et la PoEsiE !

Elle passe devant moi et je l'embrasse.
Puis elle part et je garde le gout de ses lêvres sur les miennes.
Un inconnu me regarde.
- Tu les fais réver.... Oui tu leur vend du rêve.
Je pense à mon visage, à mon âge...
C'est la folie qui fait tout.
Le rire, le sourire.
Je ne leur vends rien.
Je leur offre tout.
Et je leur laisse la liberté.
Et lui ne connait pas cette fille à l'autre bout de la ville, qui me sourit dès qu'elle me voit et moi qui suis trop timide pour lui laisser mon numéro de téléphone quand tous ses regards ne sont qu'une demande.
L'alcool aura la peau de mon cerveau ce soir encore, mais jusque là, il y aura de la poésie dans chacun de mes baisers, et du feu dans chacun de mes actes.
Oui, de la poésie et du feu.
Je n'aurai pas froid.

Un sourire et un peu de ma folie en elle !!!

Un type qui la draguait vient lui dire au revoir.
Il lui sourit et la mange des yeux. Comme je l'embrassai il y a peu, il me dit au revoir.
Quand il a tourné le dos, elle éclate de rire.
- S'il savait ou était ta main trente secondes avant, il ne te l'aurait peut-être pas serré fait-elle.
- Ou peut-être que si me dis-je en laissant mes doigts repartir à l'assaut de son string sous cette jupe qui ne sera jamais assez courte.
- Enlève moi cette main m'ordonne-t-elle.
Je fais semblant de ne pas entendre.