mardi 22 décembre 2009

La PoÉsiE dE cHacUnE dE mEs SeCoNdeS !

Il y a de la magie dans chacun de ses gestes.
Un peu des Déesses et des Dieux dans ses sourires et dans l'éclat de son regard.
Les étincelles crépitent au bout de ses doigts, et des paillettes de lumières tombent en riant de ses cheveux.
Moi je suis là et je la regarde, sans oser dire un mot, baignant dans la béatitude.
Tout ça est pour moi.
Dieu dans chacun de ses mouvements.
Déesse dans chacun de ses rires.
Tout ça m'appartient.
J'implore les Divinités.
- Ne me prenez pas cet instant, ne me volez pas cet Amour, Tuez moi plutôt mais laissez moi cet Amour, ce souvenir, cette seconde, ou tout est parfait.
Elle est assise en face de moi et je rêve d'elle.
Elle redresse la tête et me regarde, un léger sourire sur ses lèvres rouges sang de Fée.
- Tu veux un dessert ? demande-t-elle de sa voix douce comme peut parfois l'être la caresse d'un fou éperdu d'Amour.
- Oui je réponds, oui je veux bien, s'il te plait.
Encore un sourire.
Encore un peu de sa lumière.

Courir à reculons vers la fin !

J'ai ouvert les yeux ce matin, respiré, aimé la vie, une fois encore.
Je suis sorti dehors.
L'air était doux. Le soleil d'hiver brillait.
La magie flottait doucement autour des arbres.
J'ai regardé les cieux.
Je n'aurais surement pas d'enfant.
Je ne m'en sortirai surement pas.
Et ce sera surement ma faute.
Ainsi va la poésie de ma vie.
Je n'aime plus vraiment celui que je suis.
Ma vie manque d'Amour.
J'écoute des chansons tristes en rêvant d'une fille qui n'existe pas. Il y a pire pour se détruire.
La route m'appelle encore...
J'ai besoin d'un sourire comme d'autre de leur dose, besoin d'un rire comme de respirer.
- Fais ce que tu as à faire, finis ce que tu as choisi, et puis évapore toi si tel est ton choix, mais fais le, oui fais le avant de partir !!!
Je tiendrais peut-être encore jusqu'à la nuit.
Je courrais peut-être alors sous la lune.
La musique monte jusqu'aux Dieux oubliés. La magie de l'univers coule en moi. L'harmonie n'est jamais la tristesse.
- Je sens une part d'ombre en toi avait dis ma tueuse.
- Ce n'est que de la souffrance avais je répondu.
Je n'avais pas menti.
Il y a moins d'ombre aujourd'hui, moins de souffrance, j'ai eu tellement.
Juste de la solitude et de l'incompréhension, comment ai je fait pour laisser mes pas me guider jusqu'ici ?
Il est temps pour moi de me préparer à tenter de voir la fille aux yeux dorés. En ce moment son sourire tue mes démons.
Et c'est déjà beaucoup.

lundi 21 décembre 2009

Le FeU et la PoEsiE !

Elle passe devant moi et je l'embrasse.
Puis elle part et je garde le gout de ses lêvres sur les miennes.
Un inconnu me regarde.
- Tu les fais réver.... Oui tu leur vend du rêve.
Je pense à mon visage, à mon âge...
C'est la folie qui fait tout.
Le rire, le sourire.
Je ne leur vends rien.
Je leur offre tout.
Et je leur laisse la liberté.
Et lui ne connait pas cette fille à l'autre bout de la ville, qui me sourit dès qu'elle me voit et moi qui suis trop timide pour lui laisser mon numéro de téléphone quand tous ses regards ne sont qu'une demande.
L'alcool aura la peau de mon cerveau ce soir encore, mais jusque là, il y aura de la poésie dans chacun de mes baisers, et du feu dans chacun de mes actes.
Oui, de la poésie et du feu.
Je n'aurai pas froid.

Un sourire et un peu de ma folie en elle !!!

Un type qui la draguait vient lui dire au revoir.
Il lui sourit et la mange des yeux. Comme je l'embrassai il y a peu, il me dit au revoir.
Quand il a tourné le dos, elle éclate de rire.
- S'il savait ou était ta main trente secondes avant, il ne te l'aurait peut-être pas serré fait-elle.
- Ou peut-être que si me dis-je en laissant mes doigts repartir à l'assaut de son string sous cette jupe qui ne sera jamais assez courte.
- Enlève moi cette main m'ordonne-t-elle.
Je fais semblant de ne pas entendre.

dimanche 27 septembre 2009

Les étoiles savent de quoi je parle !

- Je me sens d'humeur amoureuse ce soir leur dis-je. Je veux embrasser doucement une fille dans le cou, lui dire qu'elle est un morceau de soleil tombé dans ma vie et que ses baisers ont le gout de barbe à papa !
La plupart rient.
Ils ne comprennent pas.
Je les laisse faire.

dimanche 20 septembre 2009

Quand résonne l'écho(graphie) d'une solitude annoncée !

Je regarde l'échographie sur internet.
Mon âme soeur vit ses rêves.
- Je suis si heureux pour toi.
Je ne mens pas.
- Merci dit-elle, venant de toi cela me touche beaucoup.
J'aurai peut-être du lui voler le coeur mais je voulais être prêt. J'ai oublié ma manière de vivre, sans penser au lendemain.
Tout juste guéri d'une histoire ou j'avais foncé sans réfléchir, pour finir dans le mur, j'ai oublié de claquer des doigts pour faire jaillir l'étincelle qui met le feu aux âmes.
Sans doute aurai-je aimé qu'elle le fasse à ma place. Cela m'aurait rassuré Alors j'attendais en oubliant qu'on a jamais que ce qu'on gagne dans ce monde.
La différence entre les deux histoire ?
Les souvenirs.
Et l'expérience.
C'est mieux de vivre au jour le jour sans peur. Quoi j'ai perdu en vivant ainsi, je l'avais gagné auparavant.
Que tous ceux qui voudraient faire de moi un type raisonnable aillent se faire foutre, j'aurai du vivre plus vite. Peut-être qu'ainsi mon âme soeur m'aurait appartenu plus que le temps d'un baiser.
... ...
Mon âme soeur porte dans son ventre une fille qui aura peut-être ses cheveux blonds et ses yeux bleus tandis que je me souviens de la lumière de son sourire, quand j'oubliais pour elle des mannequins de magazine aux yeux verts et aux cheveux noirs.
Dieu que ses lêvres étaient douces !
Du bout des doigts et en souriant je lui envoie un baiser de Chance, et un autre de bonheur.
Je peux continuer à marcher sur ma route. Elle n'a pas besoin de moi.
J'espère que sa fille aura son sourire.
Et si toi, tu crois que je suis triste en écrivant ces mots, alors tu ne sais rien de moi.

Elle aurait peut-être du être fière de moi !

- J'aurai du être fière de toi !
Les mots ont sonné comme une sentence qui reste gravée dans la pierre précieuse qu'est mon coeur.
J'aurai du en mourir, mais cela s'est passé autrement et j'ai trouvé tant de Forces dans ce combat pour la vie.
Ceux qui m'ont vu à terre n'auraient jamais cru que je pourrai sourire autant à nouveau.
Mais j'y suis arrivé, et j'en veux encore plus. Des Rires, de la Joie, et des Baisers au goût de Barbe à papa.
La magie coule en moi, et je ne peux que lui conseiller de ne pas m'approcher car je suis à nouveau celui qui peint des étoiles dans les yeux des Princesses.
- Oui oui me dis-je en riant... Je danse, je chante, j'embrasse, j'aime la Vie... Je suis un million de fois celui qu'elle a aimé à la folie.
Voila ce que ma Tueuse a fait de moi !

vendredi 7 août 2009

Un peu de ma folie !

- Tu as les yeux de quelle couleur ?
- Bleus.
- Cool, je ne tombe amoureux que des yeux verts, tu n'es pas dangereuse !
- ...
Je crois qu'elle déteste parler avec moi.
Je la comprends.

dimanche 2 août 2009

Quand vibre la Magie !

- Tu as les joues élastiques me dit-elle en tirant sur ma peau. C'est dingue, je n'ai jamais vu de joues aussi élastiques de toute ma vie.
Elle rit en me tripotant le visage.
Elle a dix neuf ans.
La première fois qu'elle m'a vu, elle a cru que j'étais un psychopathe. Bien que je considère que cette vison de moi soit quelque peu réductrice, je ne peux lui jeter la pierre. J'ai toujours rechigné à me montrer sous mon meilleur jour.
- Je vais te flageller me dit-elle.
Elle prononce flageuller, son accent m'amuse.
- Je ne suis pas sur d'être assez soul pour me laisser tenter.
Une fille très et trop compliquée vient me parler. Je simplifie les choses en trouvant sa langue avec la mienne. Puis je la laisse partir, je ne suis pas cruel avec les oiseaux blessés.
A coté la jeune dominatrice boit une gorgée de champagne en riant.
La nuit m'embrasse et me protège.
Je passe un bon moment.

dimanche 26 juillet 2009

La Folie Dans les Yeux !

La folie brille dans mon regard et quand je claque des doigts, je fais jaillir des étincelles de magie qui enflamment le monde et les cœurs autour de moi.
Ha Ha Ha.
L'arrogance est l'apanage du gaucher fou me dis-je en écrivant ces mots.
J'aime bien m'appeler Gaucher Fou.
Ca sonne "hollywood Style".
Je cherche la magie de l'instant à chaque fois que je courre sur le fil du rasoir.
Je cherche la magie du regard à chaque fois que je plonge dans vos yeux.
Et votre amour je volerai si vous ne me le refusez.
Chasseur d'étoiles, il me faut toujours celle(s) qui brille(nt) plus fort.
Lorsque le soleil se lève, je n'ai toujours pas dormi.
C'est ainsi que je vis.
Et peut-être que je suis
Un coeur en flammes, de la folie dans les yeux et de la magie au bout des doigts.

lundi 20 juillet 2009

Un visage si parfait !

- Je n'aime plus que l'aventure je lui dis. Mais la vraie, tu sais, celle qui fait briller les yeux.
Son visage est si parfait. Ses cheveux noirs sont trop courts, ses yeux peuvent tuer les ombres.
Quand je prononce ces mots, une lueur s'allume au fond de son regard gris.
Dieu qu'elle est belle.
Ah ! Si elle voulait bien m'emmener caresser la lumière...
Pour elle aussi j'ai des mots que personne ne lui dira jamais.
Mais il y a peu de chances que cela arrive.
Et effectivement cela n'arrive pas.
Quelle importance !
C'est cela l'aventure.
Un fille au visage parfait et un gaucher fou vienne d'échanger quelques mots tandis qu'à l'extérieur le soleil se leve sur un monde ou le manque de poésie se fait cruellement sentir.
- Nous n'avons rien changé l'un pour l'autre me dis-je en partant. Mais nous n'avons rien détruit non plus.
C'est déja beaucoup.

La flamme et la douceur au milieu de ma nuit et ma violence !

- Elle est impossible à approcher.
Elle me parle de ma cible.
- Son copain l'amène au boulot le matin, mange avec elle le midi et vient la chercher le soir. Elle n'a pas le droit de sortir en boite seule...
Elle a la vie que je pensais qu'elle avait quand je l'ai vu pour la première fois.
Quand on construit une prison pour quelqu'un, il desirera toujours s'en évader.
Je le lis dans ses yeux.
Comme se serait bon d'être celui qui la libère.
Ses yeux sont surements verts et son corps.... Ah... son corps.... Il est si parfait.
Elle est un ange de douceur qui rêve de passion, d'Amour et de violence.
Je pourrai griffer sa peau et m'endormir dans ses bras en caressant doucement ses longs cheveux blonds.
Elle est de celle dont je ne peux me détacher. Ne la laissez pas m'approcher ou j'enchainerai son coeur à coups de mots et de caresses.
Puis je lui demanderai de m'aimer jusqu'au sang.
Et elle le ferait.

Je ne suis plus aussi sur de vouloir vous laisser tuer celui que j'étais !

Ma tueuse s'en est allée.
Ma sauveuse s'en est allée.
Beaucoup d'amis m'ont trahi.
Certaines personnes que j'ai aidé ont fini par dire que j'étais un enculé.
Et tant de gens parlent d'un type que je ne connais pas et qui est censé être moi.
Je suis loin d'être un type bien.
Je suis sans doute pire que ce que l'on raconte.
Je sens les ombres courir sur ma peau, et me ronger. Mélange d'ombres et de lumières, je me fonds de plus en plus dans l'obscurité.
- Je songe à ressusciter l'Ange en moi je dis à la fée du canapé... Juste pour ne pas être ce qu'ils disent de moi !
Elle hoche la tête.
Elle me comprend.
- Et aussi à reprendre la cigarette. Je n'envisage pas de vivre vieux.
Elle me gratifie d'un majeur tendu bien haut.
Je la comprends.
Je n'ai pas que de bonnes idées.
Les yeux dans le vague, un sourire métallique en guise de masque, je laisse mes bras se baisser.
- Ressusciter l'Ange en moi... Ha Ha Ha !... Je me demande bien à quoi je ressemblerai avec un peu de lumière dans le coeur.
Elle ne rit pas.
Moi si.
Je suis devenu tellement dur.
C'est plus facile ainsi.

mardi 16 juin 2009

L'été !

Encore une avec les yeux verts.
Elle sourit, mais reste sur ses gardes.
Il y a du feu dans son regard.
Elle est dure comme de l'acier.
Pourtant elle vient me parler.
Puis disparait.
J'aime son jeu.
Elle a la classe.
Ses cheveux sont noirs.
Sa robe jaune pale.
L'été arrive en douceur.

jeudi 28 mai 2009

Je connais une photo d'elle et moi ou nous sommes beaux et brillants comme le soleil !

Aujourdui, c'est l'anniversaire de mon âme soeur.
Elle est blonde, ses yeux sont bleus, sa voix rieuse.
Pour le reste, nous sommes pareils.
Elle habite loin.
Avec un autre.
J'aurai du la voler.
Je ne l'ai pas fait.
Je lui envoie un message.
Elle me répond que c'est le plus beau message d'anniversaire qu'elle n'ait jamais eu.
Elle espère me revoir vraiment très vite.
Je prendrais bien l'avion pour l'enlever.
J'embrasserai bien son cou avant de gouter ses lèvres.
Je suis un type qui a écrit Le plus beau message d'Anniversaire du Monde de tous les temps pour une fille si belle que vous en deviendrez jaloux. Mon âme soeur !
Un jour, l'espace d'une seconde, j'ai tenu son cœur dans mes mains et je l'ai caressé sans qu'elle ne cherche à le reprendre.
Elle aime mes mots... Elle aime ma folie... Elle aime ce lien étrange qui nous unit et n'appartient qu'à nous... Elle aime...
Je devrais être en train de marcher dans les rues pavées de Prague, accroché à sa main, mais ce n'est pas ma vie.
Mon âme sœur est loin et je suis là.
Ce n'est pas si grave.
J'ai encore le goût de ses lèvres sur les miennes.

lundi 25 mai 2009

L'évidence du bleu du ciel !

La plupart des Fées ont une compresse froide sur le front pour apaiser leur mal de tête et les farfadets dorment encore dans leur vomi. Le téléphone sonne. Je décroche. Un ami me demande comment s'est passée ma soirée.
- Je suis rentré chez moi à dix heures du matin...
- Dix heures ? Mais tu as fait quoi ? demande-t-il.
- J'ai fini à la brocante avec une jolie lesbienne aux yeux bleus.
- La brocante avec... ?
- Ne me demande pas de t'expliquer, ma Vie est comme ça, c'est tout !
Il prend une seconde pour réfléchir.
- Heu.... oui, c'est vrai !
C'est une évidence.

dimanche 17 mai 2009

Les putes et les cinglées griffent plus fort !

Je suis en paix ce soir. Les étoiles brillent, pas d'alcool dans le sang. Le chien ronge un os sur le sol. Il est content, je suis là.
Même les Fées et les Farfadets prennent un peu de repos.
J'ai passé la soirée avec un ami. Nous avons parlé des filles et de leurs baisers chauds.
J'écoute en boucle Broken d'Amanyth, la chanson est belle, nostalgique.
Les souvenirs remontent...
La folie de certaines de mes nuits... Les étreintes au quatre coins du monde... Ma tueuse... La rage de Vie qui s'en est ensuivie...
Je revois des images, des visages, des regards émeraudes et SES yeux Noirs remplis d'étoiles.
Je ne suis pas triste.
Personne ne voudrait ma vie, mais tous voudrait vivre ce que j'ai vécu.
Je me souviens d'ongles plantés dans ma peau, de mots murmurés, de l'amour hurlé, des cris de plaisir... Ah les flammes de ces moments.
Je ne suis pas triste. Ce n'est pas encore fini, je connais ma nouvelle cible.
"I am Broken" chante la fille à la voix d'Or.
Ma vie se nomme Folie et j'aime le son de sa voix quand elle prononce mon nom.
Je me suis noyé dans leurs regards.
Je me suis perdu dans leurs étreintes.
Je me suis tué à vouloir les oublier.
Je me suis enivré de leur Amour.
Les putes et les cinglées griffent plus fort.
Seuls les fous savent aimer.
Je me sens bien !

Donnez moi des billets, des tonnes de billets !

Donnez-moi des billets, des tonnes de billets, et les putes et les cinglées autour de moi auront toutes les yeux verts.
Le champagne et la vodka couleront à flots et mes nuits seront remplis de feu.
Les verres se briseront sur les murs.
J'entaillerai mes poignets juste pour regarder des lèvres avides gouter mon sang.
J'irai là ou le soleil brille et tous diront que je suis fou, mais aucun n'oubliera mon prénom.
Ouais...
Donnez-moi des billets, des tonnes de billets, car tout n'est qu'une histoire de billets ici bas. Le cul, la nourriture, le pétrole et même l''amour parfois... Tout finit pas s'acheter, l'âme humaine est corrompue et dans la réalité des êtres "humains", les billets changent les choses plus souvent que les prières.
Alors braquer une banque et partir tout flamber au casino de Monaco me parait une bonne idée. Quand les flics commenceront à tirer, je serais en train de baiser une Catin aux yeux verts sur un matelas de petites coupures usagées. Une belle manière d'en finir je trouve.
Donnez-moi des billets, des tonnes de billets, et le feu illuminera mes nuits. Votre monde pourra bien s'écrouler autour de moi, je serais encore en train de rire au milieu de filles nues aux corps parfaits et aux regards émeraudes.
Les flammes de ma démence bruleront dans mes yeux. L'essence de mon parfum se nommera scandale. Je martyriserais les suites d'hôtel, et je ne ferai jamais plus de deux fois l'amour à une même fille. Une pour le geste, Une pour la légende, ça suffira.
Ouais...
Donnez-moi des billets, des tonnes de billets car les putes, le champagne des cinglées, ma vodka et la liberté se payent cash.

Ma vie Chante plus fort que la votre !

De nouveau en bas. Plus d'argent, pas d'amour.
Mais remonter ne me fait plus peur.
Il y aura des rires et de la folie sur le chemin.
Il y en a toujours eu.
C'est comme si ma vie était de ne rien garder mais de tout vivre.

Vince Vive La Vie !

Troisième fois que je la croise. Elle me saute au coup pour me dire bonjour. Elle aussi est blonde avec des yeux verts. Désolé pour vous mais en ce moment moi je vis dans un monde remplis de fées aux yeux verts.
Elle a vingt ans et il la veulent tous.
- C'est mon chouchou leur dit-elle en parlant de moi.
Ça les énerve.
Elle a froid et se blottit contre moi. Je caresse son bras nu tout en évitant de songer à ce qui se trouve sous sa jupe courte. Je réchaufferais bien par là aussi et y penser risque de me faire trembler les mains. Je ne regarde même pas ses jambes incroyablement longues et fines.
Plus tard, ELLE désire qu'on échange nos numéros.
Je tape le mien sur son téléphone.
- Aie j'ai déjà trois Vince dans mon répertoire dit-elle. Comment je vais t'appeler toi ? Vince Porno ?
- On m'appelle souvent comme ça. Ou Vince le fou.
Ca ne lui convient pas. Elle réfléchit quelques secondes puis commence à taper.
"Vince Vive La Vie"
J'adore.
- Je veux épouser une fille qui parlera de moi comme toi.
- Ben c'est vrai non ? C'est toi.
Bien sur que oui.

vendredi 15 mai 2009

Les Filles comme elle peuvent m'avoir d'un seul regard !

Des cheveux au milieu dos, des yeux surement verts, la jolie blonde commence à me sourire. Sans doute sait-elle que je l'aime bien, quelqu'un a du lui dire. Au pire le lit-elle dans mon regard, mes yeux explosent quand je lui dis au revoir.
Elle est magnifique et j'en tremble.
Je ne suis pas grand chose dans sa tête, mais autour d'elle les filles m'adorent et rient quand je suis là. Du coup, elle commence à me sourire. J'ai déjà vu des histoires commencer ainsi. J'ai déjà eu des histoires qui ont commencé ainsi, quand tous me disaient que ce ne serait pas possible.
Or ça semble impossible.
La jolie blonde avec ses yeux surement verts commence à me sourire et je craque sur elle, comme un adolescent trop timide, comme un fou en quête de lumière rêve d'une étoile et d'un soleil.
- Ne quitte pas ton chemin, garde le cap me dis-je. L'amour ne t'aime pas, n'oublie pas. Quand tu aimes, elles ne restent que le temps qu'il leur faut pour que tu leur appartiennes. Ensuite tu souffres.
Je regarde trop la route aujourd'hui. Elle quitte la ville un peu plus loin. Elle mène dans d'autres villes, sous d'autre soleils, d'autres étoiles, là ou vivent d'autres yeux surement verts. Les routes sont la promesse d'une fuite et je ne rentre jamais dans une ville sans savoir par ou en partir. Ceci peut s'avérer utile face à une fille comme cette jolie blonde aux yeux surement vert. Je n'ai jamais su me battre contre celles qui lui ressemblent.
- Les putes sont moins dangereuses me dis-je. Tu connais le prix à l' avance. Les cinglées sont moins dangereuses. Il suffit de ne pas leur tourner le dos pour éviter le coup de de couteau. Les putes et les cinglées sont ton territoire. Avec celles-là tu sais ou tu marches. Tu connais l'emplacement des mines. Moins de risque de se briser en morceaux.
Je connais trop les filles comme elle. Elles ne seront jamais comme les autres.
Elles ont cette étincelle dans les yeux qui me rend fou. Une certaine douceur, une manière de parler, de sourire, et les flammes qui s'allument dans leurs yeux quand elles rient. Tout ce que je ne sais pas expliquer quand on me demande ce que je cherche chez une fille. Dieu qu'elle semble l'avoir ce presque rien indéfinissable, ce petit truc en plus qui fait TOUTE la différence. Mais Dieu m'entend-il ?
- Finis ce que tu as à faire ! Va la ou tu as décidé d'aller, ne l'approche surtout pas dit la voix dans ma tête.
Les putes sont moins dangereuses.
Les cinglées sont moins dangereuses.
Je connais trop les filles comme elle. Je suis incapable de me détacher de ce qui brille dans leurs regards.

mercredi 29 avril 2009

Il faut savoir nourrir sa propre légende !

Vingt quatre ans, brune avec des yeux verts à la forme parfaite.
Elle m'a embrassé un peu plus tôt en échange d'un godemiché dans une soirée sex toys. J'ai connu plus ennuyeux comme circonstances de premier baiser.
Une ex-fiancée, se penche vers elle.
- Vas-y, c'est le meilleur coup de la ville dit-elle alors que son mec se trouve juste derrière.
- Ah oui ?
- Oui, vraiment...
Elle se penche et lui murmure un truc à l'oreille que je n'entends pas, mais je la considère dorénavant comme le fer de lance de mon plan marketing.
Mine de rien, la jolie brune aux yeux verts à la forme parfaite note l'information.
Une autre ex vient vers moi.
- Elle est jeune.
- Je ne lui met pas un flingue sur la tempe pour me suivre.
- Oui mais quand même.
- C'est vrai tu as raison..... ...... .... JE VAIS LA MASSACRER !
Ca fait rire ses amies.
Une petite blonde que je connais passe et m'embrasse sur la bouche pour me dire bonjour. Je tende de l'embrasser encore quand je la recroise un peu plus tard, elle râle.
- Hé mais tu es avec cette brune et...
- Laisse, elle adore quand j en embrasse d'autres.
- Ah dans ce cas...
Une copine me présente une très très jolie black.
- On s'embrasse ?
Elle accepte.
Je fais.
J'adore le gout des ses lêvres.
- Tu veux un verre ? je demande à la jolie brune aux yeux verts à la forme parfaite.
- Ça me gène que tu me payes un verre.
- Si je ne te fais pas boire comment vais-je pouvoir abuser de toi.
- Mais rassure-toi, tu n'abuseras pas de moi.
- Je m'en doute je suis vieux et moche.
- Crois-moi, tu n'es ni vieux, ni moche, LOIN DE LA.
J'aime autant sa manière de parler que l'étincelle qui brûle dans ses yeux verts à la forme parfaite.

Cinq ou six Mangetouffes sur un comptoir Perchées !

Je suis dans ce bar glauque que je ne connais pas. Il est six ou sept heures du matin. Je ne sais pas comment je suis arrivé là, ni ou nous avons trouvé ces filles. Je suis avec un pote. Elles sont jeunes, un peu folles, et nous sommes plus vieux (surtout moi) et très fous.
- Je suis lesbienne me dit celle là.
Elles sont toutes lesbiennes, sauf une qui doit être bi-sexuelle, mais mon ami a déjà sa langue dans sa bouche.
L'espace d'un instant, je pense à celle qui était ma soeur de sang. Elle aurait adoré faire sa star au milieu du groupe. Elles l'auraient toutes voulue.
Mais elle n'est plus là.
Je secoue la tête, et aussi mon sexe, pour faire tomber la dernière goutte. Puis je me lave les mains, et retourne dans la salle.
Je devrais être loin, sur une plage, à vivre un amour paisible mais fou avec une fille incroyablement belle. Elle aurait les cheveux rouges, et notre enfant courrait sur le sable avec le chien.
Seulement cela n'existe pas.
Alors je marche du pas de l'homme ivre vers le comptoir, de retour dans le bruit et la fureur, dévoré par les flammes de mes nuits.
Là j'essaye d'embrasser toutes les lesbiennes chacune leur tour.
Bien sur elles refusent.

Des cheveux longs et une jupe très courte en jean !

Une grande soirée, dans un grande salle. Je suis avec une grande fille qui est adossé contre un mur, grand lui aussi.
Elle a des cheveux longs et une jupe très courte en jean. Parfois son regard se teinte de l'éclat dur qui nait des souffrances infligées par les mensonges de ceux qu'on aime.
Je passe la main sous sa jupe très courte en jean, remonte et sens la naissance d'une fesse. Je caresse doucement car j'aime quand un peu plus que l'alcool fait briller son regard.
- Hé me dit-elle, il ne faut pas me chauffer comme ça moi.
Comme si cela allait m'arrêter.
- Embrasse moi je dis, tu as les lêvres douces.
Elle secoue la tête en riant.
- C'est compliqué, je suis venu avec des gens et... !
Je comprends ce qu'elle veut dire. Les gens ne m'aiment pas. Surtout quand parmi eux se trouve le meilleur ami de l'ex copain de la fille que je drague. Mais elle me donne un ou deux baisers d'oiseau quand elle est sur que personne ne regarde. (A sa place, moi aussi je m 'embrasserai en cachette si on risquait de me voir).
Plus tard je la regarde partir avec tous ceux et celles qui lui conseillent de ne pas approcher un fou comme moi.
Et je m'en fiche... Moi, je lui ai fait briller les yeux.
Eux non !

Je ne me sens plus vraiment concerné par tout ça !

- je pense qu'il y a encore un truc pour elle me dit celle-là.
(C'est une amie et j'ignore ce qui lui prend de me parler de ça comme ça, à froid).
- Heinnnnng ?
- heu... (elle hésite, elle est sur un terrain glissant).
- Heu je pense que tu ressens encore quelque chose pour elle. Tu ne me l'enlèveras pas de l'idée.
(Elle parle de ma tueuse).
- Ah...
- Je sais que tu n'apprécies pas qu'on te dise ça, mais....
Les gens sont étranges. Ils ne peuvent croire la vérité qui est souvent trop simple et ne correspond pas à leur attentes.
Je bois une longue gorgée de bière, puis je traverse la salle en cherchant l'étincelle dans le regard de chacune des filles que je croise.
Que puis-je faire d'autre ?
C'est une amie qui me reproche souvent de ne jamais lui parler de mes problèmes en oubliant toutes les fois ou elle n'a pas cru ce que je lui ai confié.

jeudi 16 avril 2009

Un Ange croisé au détouR d'une Nuit !!!

Elle est blonde et ses yeux sont bleus.
Elle me parle de son viol à quatorze ans, avec un revolver sur la tempe, des flics qui ne peuvent rien prouver et d'autres choses. Elle me raconte ça sur son clavier, et elle s'excuse d'avoir tant écrit alors que c'est moi qui devrait m'excuser d'être ce que je suis.
Elle parle et j'écoute.
Plus tard, et avant aussi, elle rit de mes blagues, et moi... Je me demande comment on peut encore rire après tout ça.
- J'ai un caractere fort. Soit tu galère et tu sombres, soit tu deviens fort.
Je l'écoute.
Et mes chagrins, mes peines, mes envies, mes manques, me semblent dérisoires.
Et mes démons, mes ombres qui me rongent et m'envahissent n'ont que le pouvoir que je leur donne.
Et ce monde, sa violence, ses guerres, ses jalousies, sa folie, ses humains si peu "humains" mais si persuadés de l'être ne me surprend plus. J'ai cessé de croire en tout ça.
Mais Elle...
Elle vit avec un homme qu'elle aime et qu'elle n'a pas trompé en six ans.
Elle se lève chaque jour pour aller travailler.
Elle écoute de la musique raï et danse sur sa chaise.
Deux enfants dorment un peu plus loin.
Elle sourit aux blagues d'un pauvre fou comme moi, sans le juger.
J'aime son rire, sa beauté et les flammes bleus de son regard.
Elle pourrait mentir.
Je regarde la lumière qui émane d'elle.
Elle ne ment pas.
Quelle raison aurait-elle de le faire ?
Et son sourire est ma lumière.
Je voudrais passer mes nuits à effacer doucement ses cicatrices.
Mais elle appartient à un autre.
Elle disparait comme elle est venu.
D'un coup.
Un ange insomniaque est venu ce soir, une jolie fille avec des flammes bleues dans le regard, une qui a réussit à se sauver, seule.

mardi 31 mars 2009

L'AmOuR n'ExiStE paS !

Je quitterai toutes celles que j'aimerais.
Pour ne plus jamais souffrir.
Pour ne plus jamais saigner.
Parce que la solitude vaut mieux que la souffrance.
Parce-qu'il est déjà trop tard pour moi.
L'amour n'existe pas et cela m'a tué de l'apprendre, quand les vents contraires ont mis en pièces le nuage où je vivais dans la joie et le bonheur.
Longue et dure fût la chute !
L'amour n'existe pas.
J'arrache de moi mes désirs de folie sentimentale et je les abandonne sur le chemin avec toute la désinvolture dont je suis capable. Puis je souris à la brume et je m'y enfonce sans peur.
Elle me protège.
Ne croyez pas trop en moi, j'ai fini par baisser les bras. Ma foi s'en est allé, j'ai cessé d'espérer.
L'amour n'existe pas, je le sais bien.
Il me reste la solitude.
En attendant, qu'importe les moyens, il faut survivre.
Ne jamais laisser personne s'approcher de trop près, requiert quelque talent.
Je vais passer mon temps à me détruire doucement. Embrasser la mélancolie à pleine bouche, m'a toujours porté dans des mondes aux ombres fantomatiques.
En tuant l'essence de ma personnalité, j'oublie tout ce qui était si... Important. Et mes quêtes soudain en deviennent si... Futiles.
Un Gaucher Fou vêtu d'un manteau de brume s'éloigne sans bruit de tout ce qui fut lui.
Ne soyez pas tristes.
Je trouverai sans doute une façon de fèter ça.
Sombres sont mes nuits, mais j'y nage avec tant d'élégance.

Un PuTaiN de TaBleaU JaUnE !

Elle déteste le jaune.
Et pour elle notre amitié est un tableau jaune accrochée au mur avec une tache noire dessus qui grossit tous les jours.
J'imagine une cuisine crasseuse dans un HLM gris, une table en formica, et un type usé en train de boire un café en fumant une cigarette, avec ce putain de tableau jaune et sa tache noire auto-grossissante au dessus.
- Quand la tache devient trop grosse, on jette le tableau dit-elle.
Elle a toujours su jouer avec les mots.
Et ce putain de tableau jaune n'est même pas un Picasso.
- Étrange comme tous et toutes s'éloignent avec tant d'aisance quand tu ne correspond plus à leurs attentes me dis-je. Est-ce que c'est toi, ou est-ce que c'est eux ?
Je hausse les épaules comme un type qui espère valoir un peu plus que le prix qu'ils lui donnent quand ils décident qu'ils n'ont plus besoin de lui.
Ils finissent toujours par trouver un petit quelque chose qui ne leur convient pas ou plus chez moi. Et tout d'un coup, le reste ne compte plus pour eux, quoiqu'il y ait pu avoir. C'est comme si tout n'avait plus d'importance.
Elle souhaite que son départ me fasse avancer.
AH AH AH.
Ces derniers années, j'ai vu des amis trahir, un amour fou s'enfuir, et maintenant, c'est une sœur un peu peintre qui s'en va...
Dur de continuer à croire en quelque chose après ça. Pour le futur, je ne suis pas sur d'avancer dans le bon sens. Déjà mes Démons Intérieurs sablent le champagne, leur dernière chaine vient de tomber.
- Mème si vous avez besoin, toi et les autres, ne me demandez plus rien dis-je ce soir à une amie, je ne peux plus vous aider, je ne suis plus fiable.
Je ne cherche même pas à savoir si elle me croit.
Ce n'est pas bon signe.
J'ai peur de trop bien savoir comment je finirais.

Le derNieR CaDeaU du GaucHeR FoU !

Oh je titube bien sur.
Tant d'alcool dans les veines.
Et je ne devrais pas être là.
Et cela m'amuse.
Et ma tueuse joue encore.
Dieu qu'elle est belle.
Cela m'amuse de me souvenir.... De celui qui est mort pour elle... Des jours ou ce cœur de pierre précieuse battait encore et si fort pour elle, avant que je ne le tue.
Je la regarde.
Et elle se souvient de qui je suis.
Mais pour elle comme pour moi, ce ne sont que des souvenirs.
Et puis au milieu du feu de la nuit, je m'approche et glisse quelques mots à l'oreille de celle que j'aimais à en vivre.
Et tous diront que je l'aime encore. Et tous n'en démordront pas.
Mais je m'en fiche tandis que je lui parle doucement, mes lèvres si près de son oreille.
Pas de mots d'amour. Juste des mots pour elle, des protecteurs contre les anathèmes des lâches.
- C'est mon dernier cadeau je lui dis, le dernier que je te fais.
Et il n'y a aucune méchanceté dans cette phrase. Juste une évidence.
Cela a duré moins d'une minute.
Une légère pression sur sa main, le regard du Magicien pour celle qui était sa Princesse avec des étoiles dans les yeux...
Puis, je redeviens le fou ivre que tous connaissent et, tel un rideau de fumée, à haute voix, je laisse d'autres paroles dissimuler mes adieux aux yeux de ceux qui ne savent rien de nous.
Quant c'est fait, je peux disparaitre dans l'obscurité.

samedi 7 mars 2009

Rêver d'Une FéE !!!

Elle masse son homme épuisé qui s'endort sous les caresses. Elle se déshabille, éteint la lumière s'allonge près de lui, remonte la couverture sur eux puis se colle à lui. Les pointes de ses seins frottent sur son dos. Elle aime la chaleur de son corps. Il respire profondément. Elle aime l'écouter dormir. Elle le serre dans ses bras tout fermant ses paupières sur ses yeux verts. Elle se sent bien.
- Demain, je veux que tu me réveilles en me faisant l'amour mon amour lui murmure-t-elle tendrement.
Elle le protège. Elle l'aime.
Il sourit dans son sommeil. Il sait qu'elle est là.

samedi 14 février 2009

Je ne suis jamais seul pour La Saint Valentin !

J'envoie une rose de baisers à tous mes jolis regards éparpillés un peu partout dans ce monde.
Et je leur caresse doucement le cœur, avant de le leur embrasser avec douceur.
Parce qu'on ne peut pas toujours être le pire de tous.
Parce que ma folie, ne me fait pas les oublier.
Parce que leur voler leur lumière, m'a toujours rendu plus vivant.

jeudi 12 février 2009

Dire que certains préfèrent parler de la pluie et du beau temps !

Je pense à toutes les jolies marques rouges que j'ai laissé sur le joli postérieur de celle là.
- Je suis quand même le meilleur "fesseur" de la région je fais.
- Oui c'est vrai répond-elle.
J'aime bien être reconnu à ma juste valeur.

Main dans la main avec Bouddha !

Nous sommes en Thaïlande. J'ai loué une moto. La fille avec moi est russe et ses yeux sont verts.
Elle est contente d'être ici. Moi aussi. On aime bien être loin de chez nous.
Elle est bien allumée, nous faisons la paire.
Je l'emmène sur une plage, pour faire des photos de nous sous le soleil. Nous roulons sans casques, vêtus seulement de shorts, de t-shirt et d'un chouette manteau d'inconscience...
Personnellement, j'envisage tout ceci comme une certaine vision de la liberté.
Une fois arrivé, elle m'offre son sourire, pointe les fesses, rit tant qu'elle peut, m'embrasse et la pellicule grave le souvenir de notre folie.
J'aime la manière sauvage qu'elle a de me regarder et je suis sur que nos Rires allègent mon Karma. (Le sien est pur).
Et dans notre monde à Nous... Nous attrapons à pleines mains les flocons de Bonheur qui virevoltent de toutes parts sans qu'un seul ne tombe jamais à terre.

Mea Culpa !

- Après que je l'ai quitté elle est sorti avec un des types les plus sains que j'ai jamais connu... Le genre sport de combat sans alcool, ni drogue, ni tabac, beau gosse avec grosse bite à ce qu'il parait, bref l'injustice faite homme. Finalement, elle l'a tellement brisé qu'il est devenu un vrai junkie. Il sombré dans tout ce qu'il avait rejeté toute sa vie.
- Tu es quand même un enfoiré dit la fille.
- Tu as raison, dis-je après quelque secondes de réflexion, cela n'excuse pas mes actes.
C'est vrai que c'était facile de tenter de relativiser mes mauvaises actions en lui montrant que les filles AUSSI ne sont pas QUE des Anges.

Un petit moment très Wharolien !

- J'adore cette fille sur cette affiche me dit mon pote.
Je suis la direction de son regard. Un visage parfait, des yeux et des cheveux noirs.
- Oui, elle fait des trucs bien avec sa bouche je réponds en oubliant toute mon éducation.
Il rigole, puis soudain il comprend.
- Mais tu...
- Oui je l'ai bien connu. Pour de vrai.
(A l'époque elle n'avait pas encore fait cette publicité nationale).
- Et ?
- Tu veux vraiment savoir ?
- Non ! ... En tout cas elle me transcende.
- Ce fut ma première impression aussi.
- Mais...
- Je l'ai quitté pour une autre le jour de son anniversaire.
Il m'offre un regard teinté d'une lueur interrogative mélangé à quelque chose qui pourrait ressembler à une certaine forme de reproche sans que je sache si ce qui le choque c'est que j'ai pu quitter une fille aussi belle ou le faire le jour de SON anniversaire. 
(Sans doute un peu des deux me dis-je)
Je tente d'expliquer les raisons de mon acte.
- Il y a des moments de la vie où on se sent si fort qu'on ne doute de rien.
- ... ....
- Bon j'avoue... La deuxième fille était russe et avait les yeux verts.
- D'accord fait-il.
Cette raison lui suffit.
J'enclenche la première et nous abandonnons mon moment de gloire sur papier papier glacé.
- On sort ce week end ? je demande.
- Surement.... hé fais gaffe.
- Desolé.
Je n'avais pas vu le dos d'âne.


Quelques FouS RiReS dans un restaurant tout ce qu'il y a de pas chic !

Ses immense yeux verts sont rougis par les larmes.
- Arrêtes de me faire rire, je n'en peux plus.
Autour de nous, dans le restaurant les gens se taisent et nous jettent des regards en coin. Notre joie de vivre est comme un coup de couteaux dans l'illusion de leur bonheur. C'est plus facile pour eux de nous juger plutôt que de prendre la pleine mesure de LEUR tristesse.
- Tu imagines dit-elle, je risque de croiser certains d'entre eux en réunion pour mon travail.
- Bah, s'ils viennent te voir c'est pour demander quelque chose, donc ils ne feront pas réflexions sur aujourd'hui.
- Heu...
- Bah on est libre.
Et je repart dans un autre délire. Elle me suit encore en riant. 
Plus tard on se quitte devant son travail et je lui fait la bise sur la joue. 
- C'était bon de faire les fous comme quand on avait dix huit ans dit-elle.
- Je n'ai pas beaucoup grandi depuis.
Puis je monte dans ma voiture et elle rejoint son bureau.
Elle a été mon premier amour.
Aujourd'hui, elle vit avec un autre, ils ont un enfant ensemble et elle est heureuse. Notre histoire appartient au passé, et c'est mieux ainsi. Je n'étais pas celui qu'il lui fallait.
Mais lorsque j'appelle à l'aide elle répond toujours présent. Elle ne m'a pas oublié, et amis ou amour tous n'ont pas agi ainsi.
Celui qui la comble sait quand elle me voit et une fois ou deux par an, nous pouvons manger ensemble et rire comme des gosses sans que cela ne remette en cause sa vie.
Je trouve ça bien.

JaMeS BoNd n'EsT qu'Un DébuTanT !

Ca faisait trois mois que je me réduisais en cendres pour elle avec l'application d'un bourreau de l'inquisition tandis qu'elle m'oubliait avec un de ses ex. 
(La vie peut parfois sembler injuste lorsqu'on est quitté).
Elle m'avait contacté pour aller promener les chiens... 
Peut-être aurais-je du voir là une relation de cause à effet, vu qu'elle avait appris que ma bouche avait rencontré celle d'une russe de vingt et un ans très très belle, mais j'ignorais qu'elle savait, et surtout je m'en foutais, elle était là !
 (Et... Oui, j'ai bien écrit une russe de vingt et un an très très belle, avec pour être un peu plus précis, des cheveux très très blonds, des yeux très très bleus et des lèvres très très douces, la vie n'est pas TOUJOURS injuste lorsqu'on est quitté).
Donc, nous nous étions retrouvés sous le soleil, avec deux chiens, en pleine campagne, en plein été...
"- Ca fait trois mois que nous nous sommes pas vus, on devrait boire du champagne pour fêter ça je dis.
- Oui c'est sur répond elle en souriant.
Alors j'ouvre mon coffre, et je sors une bouteille et deux coupes.
- Mais tu as... VRAIMENT apporté du champagne.
- Si James Bond le fait, je dois pouvoir le faire vu qu'il m'a tout piqué.
Elle secoue la tête en riant et quelques paillettes d'étoiles tombent de ses cheveux.
- Il n'y a que toi qui sache faire ça.
Je lève un oeil satisfait vers le soleil qui applaudit de tous ses rayons. 
Qu'est-ce qu'elle croit ? 
Bien sur qu'il n'y a que moi qui sache faire ça !"

samedi 7 février 2009

Sous le ReGaRd Tendre des ÉtoilEs !

Je suis à l'envers sur le canapé, les pieds sur le dossier, la tête dans le vide.
Assise sur la fenêtre, un verre à la main, une fée aux Yeux Verts me regarde avec une expression de tendresse amusée. On se connait bien tous les deux, elle me rend visite souvent.
- Elles ont pris soin de toi ce soir.
- Ouaip.
- Tu as des vrais amis.
- Ouaip.
- Tu en as beaucoup. C'est rare.
- Ouaip.
- C'est une chance tu sais.
- Ouaip.
- Tu es bourré ?
- Ouaip... Mais crois moi, j'ai sans doute un peu de mal à partager mes sentiments, MAIS je comprends PARFAITEMENT ce que tu me dis.
- Oui ?
- Ouaip.... Généralement mes amitiés ont meilleur gout que mes amours, elles restent plus longtemps. Je sais le prix que ça vaut.
- Je te crois.
- Tu peux.
- Oups fait la Fée qui, prise par surprise, vient de laisser échapper une remontée d'hydromel.
- Ouaip.
Et nous éclatons de rire.

Celui qui a tout perdu a tout a gagner !

Je tends mes deux derniers billets au serveur qui les prend en souriant.
Mêmes les farfadets baissent la tête.
Tout en bas.
La fin.
- Ben quoi je leurs dit, vous avez jamais chanté la chanson d'Oubick and the Pucks ?
"Perdre toute sa vie à la gagner, gagner toute sa vie à la perdre"
- Tu es sur que c'était le bon chemin ? demande discrètement une Fée dans ma tête.
- Bien sur que non, je réponds. C'était un des plus stupides. Mais c'était le mien.
Au comptoir deux de mes sœurs me regardent une lueur peinée dans le regard.
- Tu n'aurais pas du payer.
Du coup je me la joue grand fauve blessé. C'est bon pour la légende.
- Oh vous payez tout depuis le début de la soirée, vous croyez que ça allait se passer comment...
J'ai été si souvent en bas.
Je jette un œil à la chef des Fées qui regarde tout ça d'un regard impénétrable.
- Il faut tout recommencer, n'est-ce pas, remonter les échelons un par un ?
Elle hoche la tête d'un air grave. Bien sur que j'ai besoin d'un Miracle.
- Allez trinquons dis-je.
Et je trinque avec mes sœurs et les fées puis je lève mon verre à la santé des farfadets autour qui jettent en l'air leurs bonnets rouges, leurs bonnets bleus en criant hourra.
Que ce soit dans ce bar ou ailleurs j'ai toujours préféré mourir d'avoir trop vécu.

jeudi 22 janvier 2009

Il y a souvent une question con pour ruiner vos chances !

- Tu es quelle signe ? demande la fille.
- Lion.
- Aie ! fait elle avec une grimace.
On dirait qu'il y a un os. Tout d'un coup elle SAIT qui je suis et vu la tête qu'elle tire, je ne suis vraiment PAS un type bien.
- Alors les lions, tu vois, ce qui cloche chez eux, c'est que ....
Je sens qu'elle va être dure à baiser celle-là me dis-je doucement tout en buvant une gorgée de vodka sans faire de bruit afin de ne pas l'interrompre.

lundi 12 janvier 2009

Ne me rendez pas mon Amour !

Mon Âme Sœur regarde les photos. Elle finit par trouver celles de moi et ma Tueuse.
Elle comprend tout de suite qui elle est.
- Mon Dieu ! Vous aviez l'air tellement bien ensemble.
Ouaip !
Sans doute que nous étions nés l'un pour l'autre, mais Elle en a décidé autrement. Aujourd'hui je pense que je porterais bien sur ma peau le parfum de celle qui est en train de me parler.
- Elle est si belle.
Je laisse passer.
- Il y a tellement de Filles autour de toi.
Je sais.
Tellement d'Amour potentiel, si peu de battements de Cœur.
Mon âme sœur a un pincement au cœur devant les photos de moi et ma Tueuse.
Son âme sœur la voudrait bien comme pansement au cœur.
Mais elle hésite.
Et j'hésite aussi...
J'ai eu tant de moments comme ça.
Mais aujourd'hui personne ne dit je t'aime quand je décroche mon téléphone.
Alors j'enchaine les nuits et je bois jusqu'à tomber. Je fonce dans le mur et déjà je ne sais si je pourrais freiner, mais à quoi bon se poser cette question...? Je ne désire pas freiner.
Je suis de nouveau tout en bas.
J'ai tout gaché.
Ne me rendez pas mon Amour, je ne saurais pas quoi en faire.

samedi 10 janvier 2009

SouS Le SoleiL de RiGa en 1997 !

Je n'aime que les filles aux yeux verts.
Ses yeux sont verts.
Ses cheveux que j'ai connu noirs sont maintenant roux. Elle porte de magnifiques boucles d'oreilles en Or qu'elle a fabriquées de sa propre main. Son parfum flâne doucement jusqu'à moi. Je la contemple, je grave cet image dans mon esprit pour ne jamais l'oublier.
Je vis un Moment.
Un de ceux qui emplissent de nostalgie les soleils couchants des vieux jours et mème si je ne suis pas sur de tenir jusque là, je veux garder cet instant au fond de moi dans un endroit ou personne ne pourra me le prendre.
- Embrasse-moi je fais timidement.
Elle me regarde.
- Vincent... dit-elle avant de commencer à compter sur ses doigts.
Je la regarde faire. A six ou huit, j'interviens.
- Dix sept.
Elle hausse les sourcils mais continue de compter. Les femmes me font rarement confiance. A tort. Je ne leurs mens déjà plus.
- Oui, dix sept c'est vrai.
Son expression se fait plus sérieuse.
- Ça fait dix sept mois, sans une seule nouvelle de toi. Pas un coup de téléphone, pas une lettre. Et tu voudrais que je t'embrasse ?
J'en rêve.
Mes mains tremblent tellement j'en ai envie.
Je suis arrivé la veille avec une seule idée, la revoir mais il m'a fallut attendre aujourd'hui pour trouver le courage de la contacter tellement je croyais qu'elle me dirait simplement d'aller me faire foutre.
Elle est venue malgré tout. Elle est assise en face de moi sur le banc en bois d'un bar de plein air. Nous sirotons doucement une boisson. Riga brille de mille feux et ma beauté Russe me perce de part en part. Je me souviens de son corps, du gout de ses lèvres, de ce parfum que je lui avais offert, de ses ongles qui griffaient mon dos, de ses cris...
J'en veux encore.
Je veux tout.
- Oui, je voudrais que tu m'embrasses.
Ca ne va pas suffire répondent ses yeux.
- Au cas ou on se ne se revoit que dans dix sept mois... Il ne faut pas perdre de temps.
Elle a dix sept bonnes raisons de se lever, de me dire regarde qui je suis, vois ce que tu as perdu, ne m'appelle plus jamais, adieu.
Oh, bien sur, quand ses lèvres trouvent les miennes, je sais qu'elle n'oublie ses griefs que le temps d'un baiser, que ce ne sera pas si facile, que ce n'est que pour me montrer un peu plus tout ce que j'ai gaché ...
Je m'apprête à relever ce défi.
Ses lèvres ont le gout du bonheur.
Je l'aime.

LeS MoTs qU'EllE éCriVaiT !!!

Je fouille dans mes affaires. Je n'ai pas plongé dans ce carton depuis si longtemps mais j'ai besoin d'un dossier ancien. Et au milieu de ces vieilleries je tombe sur une lettre d'elle que j'ignorais encore avoir.
Un des rares soirs ou l'orage grondait entre nous elle avait trouvé le brouillon d'un poème que j'avais écrit sur la fille du salon de beauté (elle) qui ne me regardait jamais. Elle avait répondu sur le dos d'un autre poème sur la vokda celui-là. (Les deux font tourner la tête).
Tu vois la fille du salon de beauté, elle t'a regardé, elle s'est attardée, elle s'est imprégnée, elle s'est enivrée...
Elle parle de sa deuxième moitié, de son âme sœur. De ce garçon qui a quelque chose de plus, quelque chose qui te prend au ventre et qui serre, qui serre très fort et qui t'empêche de respirer...
Ouaip...
Sans doute ai-je été celui là.
Rempli d' Amour et de Magie, fou et insouciant.
J'ai cru à sa lumière, je l'ai laissé tuer mon obscurité.
Mais aujourd'hui ce sont les ombres qui gagnent.
Je puisse ma force dans mes blessures.
La douleur me garde vivant. La solitude me force à rire. Le besoin d'Amour me pousse à chercher.
Le combat est sans doute perdu d'avance. Je ne suis pas sur de pouvoir aller plus haut, mais l'idée même d'aller plus haut....
Hummm...
Ça vaut tous les défis.
Ça m'aide.
Les Anges, les Fées et les Farfadets se taisent pendant que je lis ses mots. Ils ont peur de ma réaction. Cela va-t-il m'abattre ? Me tuer de nouveau ?
Je puise ma force dans mes blessures et si les mots qu'elle écrivait touchent, alors je serais plus fort.
- Plutôt appuyer sur la gâchette et faire gicler l'intérieur de mon crâne sur un mur blanc immaculé juste pour le tacher que de replonger je leur dis.
Ils me croient.
Ils savent.
Mourir était une expérience intéressante, mais tous les jours à petit feu ça lasse.
Ils sont là, l'air interrogateurs, créatures fantasmagoriques un poil inquiètes pour leur protégé.
- Laissez tomber leur dis-je, bientôt nous serons dehors tous ensemble et je prononcerai les mots qu'elle écrivait à l'oreille à une jolie fille aux yeux de feux pour lui expliquer qui je suis et ce que je suis capable de provoquer.
- ... ...
- Ne me faites pas le coup du silence qui en dit long. Bien sur que je sais que celle là aussi ne me verra pas. Tant pis pour elle et ce n'est pas grave. Il y en aura une. Avec un peu de chance, elle aura les yeux verts j'ajoute en prenant la position de superman au décollage.
Ils sont rassurés et les farfadets courent partout, les Fées volent dans tous les sens ou s'embrassent sur la bouche en mettant la langue, les Anges rient, la situation est normale.
Je plie sa lettre et je l'agrafe dans le cahier qui devrait revenir à ma sœur de sang quand aura résonné mon dernier Rire car mes Rires ne sont que les cris de rage de celui qui aime tant Vivre.

Mème pas le prix de la corde pour le pendre !

Elle est allongée sur son lit, ses immenses yeux trop verts sont rougis pas les larmes.
Moi, je suis loin, en train de fêter une de mes rares Victoires. Je devrais être prêt d'elle. Je ne le suis pas.
Sa mère entre dans la chambre. Elle s'assoit à côté d'elle et passe la main dans ses cheveux.
- Ca ne vaut pas cher un homme dit elle.
Seul un sanglot approbateur lui répond.
Je n'ai pas toujours amusé les Anges et les Fées.

jeudi 8 janvier 2009

Les hommes apprécient parfois la logique féminine !

- Je suis avec quelqu'un depuis quatre ans me dit-elle.
- C'est bien je réponds.
- C'est long.
Et elle pose doucement ses délicates lèvres sur les tout aussi délicates miennes.

lundi 5 janvier 2009

Ne pas hésiter à emmener les siens dans sa Folie !

- Tu m’emmènes aux toilettes ?
Les filles détestent aller seules aux toilettes.
- Ok dis-je en la prenant par la main.
(Je suis malheureusement doté d'un cœur généreux).
On traverse la piste de danse. J’avise une jeune fille.
- Bonsoir mademoiselle, on cherche une troisième pour ce soir, ça vous intéresse ?
La fille éclate de rire mais observe ma compagne qui est jeune et incroyablement belle avec une petit lueur intéressée et intéressante dans le regard.
- Heu tu fais quoi la ? me demande celle qui me serre très fort la main tout d'un coup. Tu es fou !
Depuis le temps qu’on est ami, elle devrait savoir qu'il ne faut jamais rien me demander de sérieux quand je fête mon anniversaire, mais c'est la première fois qu'elle me suit dans une de mes soirées. Elle n'est pas encore habituée.
- Désolé on dirait qu’elle vient de changer d’avis dis-je à l’inconnue.
J’entraine mon amie un peu à l’écart.
- Fait corps avec moi. Si tu n’es pas convaincue, on ne va pas en tirer une seule tous les deux.
- Mais je ne veux pas coucher avec toi.
- Parfait ! Je me taperais la fille et tu regarderas.
- Erkkkkkkkk.
- Oui c’est ce qu’elle dise quand elles me voient, je compte sur toi pour faire pencher la balance.
- Toilettes…. Pitié.
- Bonsoir mesdemoiselles on cherche une troisième pour ce soir, l’une d’elle serait-elle partante ?
Elles sont trois. L’une d’elle partirait bien avec la fille, je suis le point noir.
Je parcours toute la discothèque comme ça.
On a finit par revenir au comptoir après un passage aux toilettes.
Pour être honnête je dois avouer que personne n’a accepté ma proposition. (Enfin toutes les filles voulaient d'elle mais pas de moi). Donc on n’a pas eu de troisième et la jeune fille au bout de ma main ne s’en est pas plainte.
Ce n’était pas si grave. La serveuse m’aimait bien et j’avais son numéro de téléphone.
- Tu es gravement fou dit la jeune fille incroyablement belle à la vessie vide en levant son verre.
- De quoi te plains- tu ? Maintenant tu sais que sans moi à tes côtés tu peux te taper quatre vingt pour cent des filles de la boite et tu as fini par pisser non ?
Bien qu’elle puisse facilement se déguiser en chieuse quand elle le désire, elle ne trouve aucun argument capable de contrer ma logique imparable.
Ne suis-je pas un ami exceptionnel ?

Docteur Vincent/Mister Vicelard !

... ....
- Tu m’aimes ?
- Non
... ....
- Tu crois en la fidélité ?
- Autant qu’en Dieu, mais avec lui aussi ca fait un moment qu’on n’a pas bu un café ensemble.
... ....
- Je ne peux pas faire ça, je connais Ta copine
- Tu lui a dis bonjour quatre fois, pas plus.
- Elle est dans la pièce à côté.
- Justement.
... ....
- Tu m’as trompé ?
- Oui.
... ....
- Tu as couché avec elle ?
- Pourquoi poses-tu la question si tu connais la réponse ? Bien sur que j’ai couché avec elle.
... ....
- Tu es un malade !
- Tu crois ? Moi je suis persuadé que si les amis de ton copain n’étaient pas dans la boite à se demander ce que tu fais avec moi, on serait déjà en train de faire l’Amour ailleurs.
- Tu es un malade je te dis !
- Alors pourquoi tu m’embrasses ? Ils te regardent tous.
... ....
- Tu es sorti avec elle sous mes yeux hier soir.
- Non, je suis sorti avec elle, il y a quatre mois et tu n’as rien vu.
... ....
- Tu as déjà trompé une de tes Copines ?
- Toutes sauf une ou alors c’est que je n’ai pas eu le temps ou l’occasion.
... ....
- Tu es enfoiré !
- Vous pleurez toutes pour des enfoirés. Quand on est gentil, c’est nous qui pleurons.
... ....
- Pourquoi tu restes avec moi, si tu ne m’aimes pas ?
- Parce que je ne comprends pas pourquoi je ne suis pas amoureux d’une fille comme toi.
... ....
- J’ai un copain.
- Ce n’est pas mon ami ! Trouve autre chose si tu veux m’arrêter.
... ....
- Arrête avec cette fille, Tu vas mettre le bordel dans sa tête. Elle va se marier.
- C’est censé me faire réfléchir ?
... ....
- Tu es un bel enfoiré.
- Oui, mais avec de la classe. Au moins je ne mens pas. Vous savez quand je vous trompe, je vous le dis toujours.
... ....
- C’est quoi ton genre de filles ?
- Les femmes mariés. Elles rentrent chez elles.
... ....
- Pourquoi tu dis à toutes les filles que tu les trompes ?
- Çà les rend plus amoureuses que quand je leur envoie des roses.
... ....
- Qu’est-ce que tu aimes chez moi ?
- Tu es un des meilleurs coups de ma vie.
... ....
- Pourquoi trompes-tu ta copine ?
- Parce que je suis ainsi.
... ....
- Pourquoi trompes-tu ta copine ?
- Ben tu es quand même méga bonne et je suis incapable de résister à une jolie fille.
... ....
- Pourquoi trompes-tu ta copine ?
- Prévention. Au cas ou elle me trompe un jour. Je pourrais lui dire qu’elle est cocue elle aussi.
... ....
- Pourquoi trompes-tu ta copine ?
- Sans doute que je préfère faire souffrir plutôt que de souffrir. On peut appeler ça de l'égoisme pur et simple.
... ....
- Tromper c'est lâche.
- Au moins j'ai le courage de leur dire. Ça ne m'amuserait pas autrement.
... ....
- Tu joues avec moi !
- Jouer ? je t’ai prévenu de qui j’étais, de comment j’agissais et des risques. Je t’ai dit que tu pleurerais tu as éclaté de rire. Aujourd’hui tu verses des larmes, ne t’en prend pas à moi si tu ne m’as pas cru.
- Je ne pleure pas, je te déteste C’est tout.
- C’est la meilleure chose que tu puisses éprouver pour moi.
... ....
- Pourquoi m'as-tu trompé ?
- Parce que je pouvais le faire.
... ....
- Connard !
Oui.
... ....
- Ordure !
Oui.
... ....
- Salaud !
Je sais.
… …. …. ….
Bien sur que tout est vrai.
Je pourrais en écrire des pages.
Celui-là est pour celles qui m’approchent en ne voyant que celui qui les fait rires, sèche leurs larmes et referme leurs plaies. Mon premier Amour n’avait surement pas tort le jour où elle m’a dit qu’il valait mieux être mon ami que mon amante.
Pourtant elle fait partie des trois que j’ai aimé à ce jour.

Je n'hésiterais pas une seule seconde à vous voler tout ce que j'ai perdu !

Redonnez-Moi la Liberté que j'abatte les murs des prisons
Redonnez-Moi une Étincelle que je fasse renaitre le Feu
Redonnez-Moi le Feu que j'enflamme le Monde
Redonnez-Moi le gout de la Vie que je la dévore encore
Redonnez-Moi l'Amour que j'Aime à nouveau
Et si vous n'avez rien de tout ça...
Donnez-moi l'amnésie que dès à présent je m'invente un Futur !

dimanche 4 janvier 2009

UnE CerTaiNe ViSion dE Soi !

- Comment tu fais ? me demande cet ami, elles te veulent toutes, pourtant tu as les yeux globuleux, les oreilles décollées et le nez cassé.
- Le talent my friend. Le talent… Je ne vois pas d’autres explication.
C’était une année faste. Une de celle ou la Chance et la Magie veillait sur moi sous le regard bienveillant des Divinités. Il me semblait qu’il me suffise de claquer des doigts pour que l’une d’elle tombe amoureuse. Leurs yeux m'embrassaient et m'offraient la liberté.
C’était un temps où elles adoraient la Folie autant que les Rires qui l’accompagnent en chantant et moi, j’ai toujours été doué pour ça... Au moins autant que pour me la raconter devant mes amis un peu jaloux.

jeudi 1 janvier 2009

LeTTre à uNe JoLie FiLLe !

Si tu savais combien parfois j’ai besoin de griffer une peau, cette nécessité d’Aimer un plus fort.
…Imprimer mon écarlate signature sur un corps esclave de son Désir, épeler le mot Passion en lettres de Sang et en lécher délicatement chaque goutte versée, entendre hurler mon prénom au fur et à mesure que je le grave dans le creux de reins insoumis…
Que je connaisse ou non ton regard, ne m’approche pas si tu n’es pas prête pour la Folie de mes Ètreintes.
La Douceur est compagne de mes Réveils, la Violence partenaire de mes Nuits.